Swann veut un chien. Il est dans l'âge où il voudrait un bon compagnon, sympa, complice, joyeux, joueur, câlin, attentif, et protecteur. Je suis dans l'âge où je pense qu'il va falloir le sortir, trouver quelqu'un pour le garder pendant les vacances, nettoyer les pipi, ramasser les poils, trouver mes chaussures mordillées dans son panier, acheter des croquettes et encore des croquettes, et prendre rendez-vous chez le vétérinaire.
Il pense amour inconditionnel, je pense perte de liberté.
Il pense meilleur ami, et je pense contraintes permanentes.
Depuis quand le plus important dans la vie n'est plus un amour inconditionnel ? Depuis quand je pense à l'envers ? Je ne m'en suis même pas rendu compte.
Photos delideladelo que j'ai découvertes via le blog the senses five.
contingences, circonstances et contraintes ça s'appelle et c'est pas du tout opposé à l'amour inconditionnel! et s'il voulait un cheval? l'impossibilité serait plus évidente...
A la campagne, périgourdine pourquoi pas, avec un grand jardin tu envisagerais sûrement la chose autrement...
responsabilité, parentalité, amour inconditionnel quand meme!
Rédigé par : denis | 12 août 2010 à 13:12
Merci Denis de cette lueur de compréhension. Je me sens moins à côté de la vie ;-))
Rédigé par : fanny - anosenfants | 12 août 2010 à 15:26
Toutefois un chien va apprendre à l'enfant à être responsable. : )
Rédigé par : Blog bébé | 13 août 2010 à 13:55
Oui mais c'est moi qui ne veut pas cette responsabilité... En fait, je crois bien connaître tous les avantages à avoir un chien au sein d'une famille. J'essaie surtout de me convaincre que c'est une mauvaise idée.
Rédigé par : fanny - anosenfants | 13 août 2010 à 15:41