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16 octobre 2011

Commentaires

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Anne-Laure

Ce fut ma crise d'appendicite le jour du deuxième entretien pour un job que j'étais sûre de décrocher... Refusant de m'écouter, j'y suis allée quand même et le directeur de la rédacton qui ne m'avait encore jamais rencontrée s'est demandé qui était cette candidate au charisme de mollusque. C'est vrai que j'ai passé l'entrevue à me demander s'il fallait mieux que je vomisse sur son bureau ou dans sa poubelle - finalement, j'ai attendu l'entrée de l'hôpital. Il n'a jamais rien voulu entendre, même quand il a su que j'étais sur le billard deux heures plus tard - moi, j'aurais récompensé cet acte de bravoure... Résultat, quatre ans après, toujours précaire.... Sans parler de la cicatrice au nombril, mais ça, c'est une autre histoire.

Fred

Nos parents nous ont appris à vivre intensément. A profiter de chaque instant comme si on pouvait mourir demain. C'est une force, mais c'est aussi un poids car du coup on n'a jamais le droit de se reposer. C'est peut-être pour ça que tu ne "t'autorise pas"... T'inquiètes ma Fanny, tu as le droit.

queen of fucking everything

j'ai loupé un entretien pour un poste extra car mon iphone est resté bloqué à l'heure d'été... je suis arrivée avec 20 minutes de retard et le mec n'a rien voulu savoir.
le poste était à une heure de transport de chez moi et j'étais à ce moment là à 2 jours d'accoucher.
qq mois plus tard je me suis rendue compte de la connerie que cela aurait été de perdre tout ce temps dans le rer.
et je crois que le destin m'a fait un clin d'oeil pour que ça ne se fasse pas.

dans un autre genre, j'ai eu 3 mois de palpitations terribles qui ont nécessité des examens cardiaques poussés. palpitations qui ont miraculeusement cessé le jour où j'ai dit à mon boss que je voulais partir... mon corps me faisait signe de ce que je ne voulais pas voir: je n'aimais plus mon job.

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