Avancer toute poitrine dehors à la gloire d'un amour fier et valeureux, et prendre froid par les pieds, lamentablement, comme tout le monde... En ayant marché, sans doute, là où il ne fallait pas... Glaise ! Opérer urgemment la saignée et s'écoeurer de l'écoulement sans fin des épuisants pourquoi, des navrants parce que...
Je ne désespère pas puisque je panse.
Dernier autoportrait de Saul Steinberg's.
J'adore tes constructions orthographiques. C'est une bonne gymnastique pour mon cerveau premier degré
Rédigé par : Sonia B. | 29 janvier 2013 à 11:13
Je ne désespère pas puisque je panse ! Admirable ma douce Fanfan inspirée
Rédigé par : Renée | 29 janvier 2013 à 14:27
Il faut qu'on panse, c'est tout à fait ça. Tu es parfaite ma chère Fanny et hilarante.
Rédigé par : RS. | 29 janvier 2013 à 18:03