La perspective d'un chemin est parfois si intense qu'il est plus facile de rester sur place et de regarder ses pieds. Alors on regarde ses pieds et on avance pas à pas. De toute façon, une fois qu'on a eu cette vision de la route à suivre, on a beau fermer les yeux, le chemin ne nous quitte plus, on a beau fermer ses oreilles on entend toujours l'appel.
Photo de Robert Franck
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