Alors que la bravoure* de Nathalie Kosciusko-Morizet dénonçant la lâcheté des hommes de son gouvernement fut balayée par un simple "elle a craqué" de Jean-Louis Borloo interviewé ce matin sur RTL (sous entendu : la pauvre, vous savez ce n'est pas facile d'être au gouvernement, ce n'est qu'une femme après tout, il ne faut pas lui en vouloir, "l'incident est clos") BLOUPS...
En revoilà une autre couche de la part de l'éminent pédiatre Aldo Naouri, qui dénonce la tyrannie des femmes-mères à l'encontre des hommes-pères : « L’être féminin s’avère tirer son sentiment de toute-puissance de la satisfaction des besoins d’un tiers, en nourrissant un bébé par exemple... Il y a besoin d’un père pour rendre la situation plus mesurée. Je suis pédiatre, j’ai eu trois enfants et je n’ai jamais donné un biberon. » RE_BLOUPS...
Bon bein là je crois qu'on est douchées, coiffées pour la saison printemps été. Il faut que je réfléchisse à tout ça.
Passons une bonne journée connectée à ce qu'il y a de meilleur dans la féminité. (Au fait c'est quoi?... Le meilleur de la féminité?)
* Pour ceux qui n'ont pas suivi, elle a déclaré au journal le Monde : "Il y a un concours de lâcheté et d'inélégance entre Jean-François Copé, qui essaie de détourner l'attention pour masquer ses propres difficultés au sein du groupe, et Jean-Louis Borloo, qui se contente d'assurer le minimum."
Je déteste ce genre de paternalisme chez les hommes. Heureusement que ce « pédiatre » n'est pas le père de mes enfants (les pauvres) !
Rédigé par : Lonneke | 10 avril 2008 à 12:39
vive le féminisme sans poil aux pates!
merci mesdames!
http://liseznostextesmerci.over-blog.com/categorie-10359484.html
Rédigé par : denis | 10 avril 2008 à 14:59